Il semblerait qu'à l'heure où l'avenir reste passablement maintenu dans un flou un rien ténébreux, et au moment où les incitations à la déliquescence des traces du passé sont innombrables, Internet (le standard des réseaux, le réseau des standards) resterait une sorte de gisement, inépuisable, où piocher afin de mieux trouver des perspectives non tendancieuses.

Un vivier paradoxal, où chaque résident est également le détenteur d'une épuisette ...

Cela au delà des vanités, et malgré l'incompréhensible complaisance accordée partout à des scories parasites (spams, pubs, injonctions diverses ...) déversées par des robots ou des androïdes.