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« Pierre qui roule n'amasse pas des masses (de mousse) »

 

“ [...] And if you listen very hard / The tune will come to you at last,
When all are one and one is all, (- that's what it is !)
To be a rock and not to roll ”


ÊTRE AU MONDE ?


AVEC DES EXTRAITS DU FORUM EN FREE ACCESS :-)
Pr Fox - Août 2008

LE SALAIRE DE LA PEUR (mercenaire) // LA PEUR DU SALARIÉ (milicien)

 

@ Patrick : Je suis touché de l'attention que tu portes à ma condition physique, comme de ta sollicitude envers mon moral Mais, non, rien d'anormal, si ce n'est que je suis nomade tout le long de l'année, et qu'en ce moment je rencontre une sorte de grande confraternité, de par les transhumances estivales. Un relief, (comme disant les anglais). Chic et pas cher.

Tu soulèves un point crucial, derrière l'ironie de ton propos : la question, ô combien réactionnaire, de la gratuité. Les miasmes du Service Publique (PTT etc.) interrogent les populations. Nous sommes interpellés par cette démonstration involontaire du postulat que j'énonce patiemment auprès de qui veut bien l'entendre :

L'âpreté au gain, conduit invariablement à la faillite.

Puisque la quête incessante du profit, amène systématiquement la ruine de la qualité de vie, on le sait maintenant. L'amplitude d'une sinusoïde passe par des creux, voire des absences ...
(Ex: les prescriptions de psychotropes affirment un record mondial de vente en France, mais les dépressions sont en croissance, et le trou de la secu n'en finit pas de s'agrandir ... : + + + = — )

Tout ça parce que la marche à pieds, la phytothérapie, "la tranquillisation verbale" (cf. même auteur que le récent promoteur de la "résilience"), la complicité affective, la transcendance (la transe en danse ?), en un mot : la bonne "humeur" (chère aux médecins de Molière) tout comme l'exercice physique (modéré : le jogging chronométré des apprentis athlètes, pressés de décompresser, est une cause d'irruption d'infarctus ; la marche comme la natation sont beaucoup plus rassérénantes), sont un peu vite relégués dans le superfétatoire, ("ostracismés" est un barbarisme néologique, mais parfaitement adapté), par des rouages mercantiles faisant figure de rouleau-compresseur.

Il n'empêche, c'est dans La Remise que se trouve une bonne partie de la splendeur du patrimoine ...

Ne déformes pas trop mes propos : je n'ai jamais parlé de gratuité (ni de péage, d'ailleurs) : j'évoquais des balises concernant l'organique, autrement dit : l'Inestimable !
(cf. "les voies du Maître d'Oeuvre sont impénétrables", la signature, irremplaçable, du génome humain est cryptée etc.)

La guerre a un coût ; la Paix n'a pas de prix !

Si l'on perd de vue la jouissance de ce qui n'aura jamais de prix, l'usufruit de l'inutile, on est vite enclin à croire que la prospérité ne sert qu'à (re)donner les moyens de la conquête, (et que cette dernière ne serait qu'une surenchère vers une prospérité extensible, malheureusement affaiblie par l'effort de guerre intermittent).

Une course sans fin autour d'un cercle vicieux ... Une cage hérissée de code-barres ... Un [drôle de] zèbre d'outsider. Un mirliton pathétique.

®

Remarque : le postulat cité à propos de l'ultra-chasse au gain (over-hunting), vaut aussi pour autre chose que de la monnaie : les tentatives de recrutement trop appuyées mènent à la désertion, au "j'm'en foutisme" du dogmatisme, voire à un certain nihilisme ... (cf. Y aurait-il eu un mouvement hippie sans la guerre du Vietnam ? Un mouvement punk, sans Thatcher ? Une Confédération Paysanne, sans l'agriculture intensive ? Un regain du vélo, sans l'omniprésence publicitaire de l'automobile, 4x4 inclus ? Etc.)
Un Higelin & BBH75, sans Mireille Mathieu ?

Tout comme les appels à SMS incessants, pour des concours de chant sans A.C.I. ont illustré la débâcle de la chanson française (qui s'est ressaisie depuis, par ailleurs, avec une demie-clandestinité dans un premier temps (cf. Sanseverino, Art Mango, Daran, Frandol, Etc.) puis par une "Nouvelle Nouvelle Chanson Française" plus main stream, que l'on connaît tous ... (en passant par -M-, Dyonisos etc. pour le flanc rock)

Inestimable n'a jamais signifié sans valeur ... Ça n'est pas parce que le présent est en "monnaie de singe", le cadeau, dans une devise étrangère, qu'ils seraient moins considérables, que les mirlitons pathétiques que nous infligent les cours de la Bourse (qui, de toutes façons, ne disent jamais deux fois la même chose ... Et, pire, sont incapables de chiffrer leurs actifs !)

On sait, par des observations scientifiques, que lorsque le cerveau n'est pas tellement sollicité il a tendance à "se laisser laller" : autrement dit une intelligence au repos, le reste, et induit un comportement d'ahuri. Une logique abandonnée au croisement des nulles parts, périclite.

Or, quelle est le principe même de la pratique dominante dans notre système économique, si ce n'est d'attendre ? Quel autre moyen de faire du profit, à grande échelle, que de "faire fructifier son capital en dormant" ? Je vous laisse tirer les conclusions quant au potentiel d'intelligence induit par ces ces pratiques sado-maso, qui ambitionnent de dominer tout en se calcifiant ...

Ce framboisier, poussé trop vite (pour des raisons mystérieuses, probablement liées à des apports chimiques), ploie sous le poids des fruits le moment venu, et se retrouve à toucher terre comme un arceau famélique.


Ceci dit, tu t'amuses de mes pulsions épistolaires, que certains observateurs moins attentifs que toi n'hésiteraient pas à diagnostiquer hâtivement comme maniaco-dépressives (mes sautes d'humeur reposent pourtant sur un cohérence : une lucidité entre ma fonction de synthétiseur spontané d'inconnus, (souvent en mode mineur, allitéré), et (mode majeur) mon discours un rien excentrique (si ce n'est exalté), mais usiné par ma propre expérience. Cela va du Roots / Blues au DooWap , en passant par le R'n'R et le Trip-Hop ). J' assume (mon éclectisme).

Une attention vacante, mais burinée par les embruns de la nuit ... (y'en a un p'tit peu marre de devoir toujours mettre en avant "l'expérience", quand on a le poil qui grisonne : la nuit, tous les renards sont gris !)

Et je le prouve (si tu veux) logiquement :
Lorsque la soumission est volontaire, ce n'est plus que de la modération (partagée ; une entente tacite, en l'occurrence) ... (D'ailleurs tu n'as qu'à lire les pubs pour boissons alcoolisées : ils ne parlent pas de soumission ! ;) Ni d'addiction ... :-/ )
Alors quand j'éructe un "Power To The People !", cela fait écho au "Are you ready to testify ?" du MC5 dans le live "Kick out the jam !" (cf. White Panthers/Detroit/punkitude etc.)

Cela a quelque chose de reposant que de faire parti d'un groupe (de musique en particulier), qui galvanise son identité, tout en profitant de l'instinct grégaire des participants (- musiciens, comme auditeurs, dès lors que les égaux savent se mettre en veilleuse sans se sentir menacés).

"Délégation", ça n'est pas un vain mot. Et l'osmose n'est pas réservée aux amibes ...
Quoi qu'on puisse nous seriner à longueur de médiatisation pipole, la vie n'est pas nécessairement un perpétuel bras-de-fer, une incessante quête de vengeance ; ni un enduro de négation d'autrui. (J'ai toujours trouvé grotesque la célèbre devise "Bouffer ou se faire bouffer").
Les responsabilités sont faites pour être partagées (et "ça ne mange pas de pain").
Le respect ne peut que passer par cette faculté de recevoir (des directives), autant que par celle de donner (des ordres). Bien sûr, à condition, qu'une logique soit en filigrane, pour qui souhaite examiner de plus près la justification de la feuille de route ; et que le prescripteur soit, virtuellement, en mesure d'accomplir lui-même ce qu'il attend de l'autre (sans que cela n'affecte en rien sa dignité).

“ Apposez votre nom en bas du bordereau ” (... et vous serez le sémillant Régent l'espace d'une seconde : Le Centre de la Rose Des Vents ! Le Nexus des 4 Points Cardinaux !)

Ceci va dans le même cul-de-sac que ces quelques autres contre-vérités assez peu supportables, que l'on assimile par habitude (les "idées kangourous" pointées par l'équipe du regretté journal Actuel, par ailleurs énonciatrice de fameuses "idée-forces") : La sympathie n'est pas l'empathie. L'empathie n'est pas la charité. La charité n'est pas la pitié. La pitié n'est pas le cynisme appliqué. Etc.
Et "la loi du plus fort" constitue une entrave plutôt qu'un atout : elle oblitère le feed-back possible (et souhaitable, à défaut d'être avant-coureur), elle sclérose toute velléité d'arborescence organique. (Sans parler de la non prise en compte du facteur "chance", et de l'omniprésence des aléas).
Les méduses n'ont pas le monopole de la polymorphie ...

En effet, si la soumission s'avère, si ce n'est obligatoirement épanouissante, mais pour le moins tranquillisante, lorsqu'elle est consentie, redevable d'une compréhension symétrique, quand l'intiative se sent "l'obligée" d'une intelligence synergétique, alors la puissance souhaitée pour la population (dont il est question avec Lennon) passe aussi bien par un droit au commandement, que par un devoir d'obéissance, assumés.
Il importe d'expérimenter le fait que le désir de faire faire n'est pas toujours malsain ... Ambigu et retors peut être aussi le désir de ne plus prendre d'initiative. La procrastination est une tare fortement encouragée. Comme l'est l'instinct de domination (chez les fauves, essentiellement).

Pour être plus clair : Cela semble finalement tout autant gratifiant de diriger, que de se laisser conduire ... Alors laissons donc le quidam prendre la barre, de temps en temps ! Tant que l'esquif est à échelle humaine ! Laissons lui aussi l'opportunité de montrer sa mansuétude. Sa confiance, peut-être ...

La prise d'autorité ne doit plus être interdite entre citoyens égaux.
"Power to the People !" ça n'est pas seulement ce mot d'ordre véhément qui fait trembler tout pouvoir, (relou & chelou ; institué en amont), à l'idée d'un soulèvement collectif (contre les privilèges de "favorisés" [ce n'est pas moi qui le dit !] qui les mettent lourdement en place, ad vitam ils l'espèrent) ; mais c'est aussi un voeu d'acquérir quelques privilèges inestimables : tout d'abord, celui d'obéir de bon coeur ! Et, aussi celui d'avoir un décor mouvant ! (Pour ne pas employer les "grands mots" comme "foi en l'avenir", quand ça "groove grave !" etc.) Un progrès, pourquoi pas ?

Ainsi cela illustre aussi une "démocratisation" du désir d'être guidé, ("coaché", par son propre choix), une appropriation par les particuliers de la volonté de pouvoir suivre son prochain : en effet, cela peut exprimer une généralisation prophylactique dans l'octroi d'une fonction catalysante ! (Autrement dit : considérer le premier venu comme un allié potentiel, plutôt que comme un client éventuel, ou un despote en puissance ; ou les deux en même temps ! (Si "le client est roi", je veux bien être ………… —remplir le champ libre—)

Dans cette optique, la mission "casser ou absorber, si on ne peut pas dominer ; ou autrement, raser les murs" est devenue caduque, (inopérante, tu vois ?)
(comme le fameux "demain on rase gratis")

Ex: J'aime assez me sentir 'disponible' envers les passager[e]s du train, tout autant que je le suis envers le contrôleur ... Et j'apprécie quand ce dernier est un peu familier, empreint d'une humanité vaguement inconséquente ... Ce n'est même pas se sentir utile, ou "en règle" : c'est se sentir collectivement efficients, possiblement endormis, tous parfaitement prisonniers d'une machine conviviale !



L'OBSERVATOIRE EN HAUT DU PHARE

Au sujet de l'information : agir autrement que comme je le préconisais (cf. le savoir considéré comme une chose publique), ça serait de la "rétention d'information". Comportement criminel. (C'est bien connu : dans ton dos, le fer de lance intra-muros dans les bureaux : « Ils ne font rien : ils se situent / Ils sont là à tous les niveaux / C'est le règne des 3èmes couteaux » (Lavilliers Bernard).
C'est bien, connu. Connu, c'est mieux.
L'info en soi ne vaut rien (un scoop éventé ne coûte qu'une poignée de cacahouètes), c'est son traitement qui compte. Avec, sait-on jamais, les applications connexes.
Le seul qui mérite (ou pas ; c'est selon l'usage rémunérateur qui en découlera) du pognon dans l'énigmatique dépêche (AFP ? c'est toi qui le dit) postée au sujet des greffes de robots, c'est le scientifique (qui a du publier ses travaux par ailleurs : car c'est ainsi que l'on valide chaque pas en avant dans la science).

Par ailleurs, les droits d'auteur concernent surtout un usage commercial en aval.

Donc, après réflexion, je trouverais plus intéressant de favoriser un genre d'observatoire des médias, plutôt qu'une n_ième agence : les "critiques" et commentaires venant des pairs, comme toi, sont toujours gratifiants pour tout le monde. Ou le décorticage méticuleux venant de praticiens de la communication comme il y a par ici, tout comme la déconstruction opérée par des sémiologues, avec l'apport affectif et circonstancié d'artistes émérites, cela apporterait un éclairage très utile.

Un bon moyen de vaincre l'apathie ("médiocratique" : cf. le tout-portnawak ... Port Nawak, tu connais ? Un lieu de villégiature très prisé ! Et pas qu'estival ...), et de se prévenir contre intox[ications], lavages de cerveaux à répétition, et panurgisme irrévérencieux à l'encontre des artisans de l'excellence ; tu ne trouves pas ?

Une sorte d'arbitrage des arbitres ...

(- suivez mon regard ... J.O. zarbis, OTAN/Russie, Manteau Afgan Etc.)

“ LE PORT DE LA CRAVATE, EST-IL UN PASSAGE OBLIGÉ ?

une philosophie

 

Stairway To Heaven — Led Zeppelin
Anniversaire (d'un freak de) Led Zep le 20 août.
Tenez-vous prêts ! (-Comment ça, le futur est passé !? - Soit on ne fête
jamais les anniversaires, soit on les fêtes tous !)
~~~~~~



LE PORT DE L'ANGOISSE

(- Tenue correcte exigée -)

 

Je répète : "To be a rock ; and not to roll !"
= Ne pas se laisser bousculer par les événements ...
(Nota Bene : Éviter de prendre la bôme sur la tête quand on vire de bords)

Je ne sais pas vous, faites comme vous voulez, mais moi je ne compte pas investir un centime de dollar de plus dans les déplacements aériens de certains à l'autre bout de la planète ...
... à moins qu'on ne mette au point vite fait un avion sans kérosène !

(Mais même comme ça ... Parce que quiconque a foulé le sol pakistanais ou afghan, en dehors des voies balisées, "urbaines", sait bien qu'aucune solution militaire { ni humanitaire, qui va de pair, soit-disant } n'est possible, dans ce maquis aride fait de fiefs inextinguibles. Où les droits de passage sont exorbitants (avec des cerbères du style à piller les stocks de médicaments sans les notices, les étiquettes associées, donc sans les modes d'emplois !)
D'ailleurs si les Russes s'y sont déjà cassé les dents, ça n'est pas avec les américains qu'on fera mieux ! Eux qui ont financé le talibanisme, à l'origine ... souvenons nous en. Eux qui ont poussé les ossètes à rompre la trêve des J. O., comptant sur les fractales colombophiles pour faire diversion ...)

Quand Poutine parle de la Tchétchénie, il parle aussi de "terrorisme". Va-t-il oser en Géorgie ?

Et puis l'occasion n'est pas vraiment valorisante, en la circonstance ... (les vaincus sont rapatriés anyway). Soyons urbains, une fois de temps en temps ...
J'ai déjà énuméré les 2 moyens radicaux de vaincre les vélléités de terrorisme (puisque par définition, on ne peut vaincre les terroristes après coup ; qui sont soit morts-suicidés, soit retournés dans leur nébuleuse de chômeurs fanatiques, ou vaquent à leurs occupations anonymes, en prison ou ailleurs (à Londres on a vu qu'il s'agissait de chirurgiens BCBG, pas de talibans).

Je récapitule donc, 2 des préceptes" Novoïdes" (issus de la vidéo éponyme © Rimage ; (V)HS, sans capituler pour autant) :

“ SIMPLE COMME BONJOUR ”

  • - 1/ Il faut taire le terrorisme ! Sans le porte-voie complaisant des médias (...) ce type d'actions n'aurait plus aucune raison de se renouveler. Si tant est que ces massacres aient un quelconque rapport avec la raison ... (Ex: Le déplacement présidentiel, d'une certaine façon, fait une publicité illégitime aux auteurs de l'embuscade (abondamment nommés, hors contextualisation, et bien loin de leur maquis : un privilège inespéré) ... Cela de par une ampleur médiatique, qui n'aura de conséquence qu'une montée de 2 points dans les sondages du dimanche suivant ... En France.)
    Oui, ça serait mieux de rendre dissociables les activités des uns et des autres (en rompant une solidarité de surface, objective dans l'objection, où chacun est dupe de l'autre : les médias en étant "aux avants postes" (c'est "dans le poste") ; les terroristes en se croyant intéressants (des croyants de pacotille, qui défigurent la spiritualité, hissés au rang d'ennemis publics N°1, fiérement organisés — Alors que les seules vraies infrastructures ne sont que celles qui s'y opposent : les autres n'ont que des cassettes VHS et internet, pour faire entendre leurs élucubrations auprès des inactifs afin de les enrôler. Les intiatives atomisées, "au petit malheur la malchance", étant ensuite "revendiquées officiellement" par un Etat Major informel et morbidement facécieux ... Labelisation aussitôt relayée par la Grosse Bertha médiatique.)

Parce que la *qualité de vie*, également, peut être spectaculaire (confiée à des mains expertes, artistiquement professionnelles, avec des moyens similaires à ceux qu'on attribue aujourd'hui au glauquisme Trop gore, quoi !)...

  • - 2/ Il faut opposer des valeurs fortes, antinomiques, à ces nouvelles "valeurs" belliqueuses : pas de simples contre-feux, mais d'authentiques lames de fond (Ex: le bouddhisme, 3ème religion du pays, en est une ... Le patrimoine tibétain est l'un des plus ancien de l'humanité) ...
    Fondamentalement s'adapter aux récentes formes de combats aveugles, et savoir montrer que les attaques (des "fondamentalistes") reposent sur des calomnies, des quiproquos. Etc.
    (Si on le souhaite, on peut se reporter à la théorie du "groove transcendental" dans les archives ...)
    Magnifier une culture, populaire, tout en étant ancrée dans les solides traditions. Offrir des nourritures spirituelles, là où la famine ne sévit pas ; et dépaupériser le reste de la planète. Rapidement, avant que les esprits des plus faibles ne sombrent dans la morbidité.

 Boucher les interstices par lesquelles le vide existentiel se voit permuté en criminalité. "Occuper le terrain" tout autrement ; en jouant collectif  ! 

 

 

AVANT LA FIN DU JOUR


Ce qui serait souhaitable pour un véritable retournement de la situation, c'est donc le contraire d'une attitude complaisante, solidaire "par la bande", ou l'inverse de celle claquemurée dans le dénigrement (pathétiquement subjectif) et la vindicte (objectivement vaine).

Mais plutôt (sera le mieux) analytique, - pour se faire une opinion, les charades sont "à tiroirs"-
et synthétique (la sagesse est au bout du tunnel : l'intelligence ne peut se dispenser longtemps d'association d'idées, même incongrues, même ineptes, même inaptes ...
(cf. "Brain Storming", ou "cadavres exquis", selon son cercle de prédilection ... Comme ces Clubs que l'on fréquente après le boulot, avant la vie domestique, chez les anglais, ou les japonais. Dans les pays méditerranéens, on va faire un tour sur la promenade, ce qui revient au même ...)

"Il y a plus de matière grise dans 2 cerveaux que dans un" : c'est cette évidence qui nous rend optimiste concernant l'abolition de toute guerre sur Terre : un jour on saura extraire le jus d'au moins un, puis de deux, on retiendra la "substantifique moelle" de ce muscle que l'on a pris si longtemps pour un os !

L'absence de sépulture [ou l'absence de rituel en un lieu sanctuarisé, parfois confié aux charognards] est le premier indice de barbarie .
L'exemplarité civilisationnelle n'est pas un luxe dispensable ...

Alors, il conviendrait d'inverser la tendance : la distribution d'images non pieuses, garantie par le voyeurisme intéressé des médias, et la fascination des protagonistes pour une dramatisation immédiate de leur malheur, conduisent à rompre avec les consignations des Écritures, qui interdisent de "toucher" (même du bout d'un télé-objectif relié à un reflek's ... l'anachronisme a bon dos) les offrandes sacrificielles ! Et à forceriori de les partager avec le plus grand nombre !

Il est tout de même surprenant de voir la starisation des présentateurs et présentatrices (surtout) de J.T ; quand on songe que tous ces sourires plus blancs que blancs, et ces hommages dithyrambiques ne seraient rien sans les catastrophes mondiales en prévision, enfilées comme un collier de perles, encore et encore ! Quand les journalistes arrivaient à ce poste naguère, ils étaient salués pour avoir su poser les bonnes questions, (même si c'était du bidonnage au montage), et pour la pertinence de leur observation ; pas pour être le sujet des conversations, et le focus des projecteurs !

Et c'est ne pas voir plus loin que le bout de son nez que de prescrire des discours, politiques, à usage interne, qui soient irrecevables à l'autre bout du monde, surtout si c'est de là, où l'on est précisément, qu'on les prononce, (hâtivement, mais avec le ton, en bon pro de la communication). Et où pourtant il y a la télévision, (il ne faudrait pas l'oublier si facilement) là-bas, chez les ennemis :
S'il est une chose dont sont persuadés les talibans et leurs sympathisants plus ou moins forcés : c'est bien de ne pas être des "barbares" ! C'est nous, le champ innommable éloigné des remparts (Cf. racine approximative du mot "barbare" : "qui est de l'autre côté des fortifications") , les "mécréants" ! Prétendument ...
Dialogue de sourds, à l'âge des paraboles, du wi-fi, et des téléphones portables. (Voilà qui serait presque risible, si ...)

Un jour aussi, il faudra leur dire, que le monde ... n'a pas de bout. (Il est sans fil).

TECHNOLOGIA (enfin !) APPLIQUÉE

Donc, à bien y regarder, le problème est que les belligérants sont au départ des autorités qui profitent de leur position pour convaincre leurs beaufitudes respectives (entendons par là une engeance qui a fait de bornes des hôtels du culte), tandis que les idées vont à la vitesse des sattelites, et que les analyses survolent les frontières, à saute-moutons, immédiatement synthétisées par les internautes.

Alors, une solution pour pallier à ce facheux décalage, à cette latence qui n'en finit pas, ça serait peut-être que ces derniers (les premiers informés) PASSENT LE MOT !

Qu'ils cessent de se la jouer "branchés" un rien sectaires (style années 80), élite tribale, comme au "moyen-âge" occidental

(un "âge-moyen", dans un tout autre contexte culturel, serait tout simplement incompréhensible, ethnologiquement absurde. C'est comme si on allait fêter la St Valentin avec des pygmés, ou célébrer la Techno-Parade avec des zazous : ça n'est pas le même calendrier !)

Les internautes devraient arrêter de se percevoir comme des éternels surfeurs, brouteurs, papilloneurs, hors de toute implication civique tangible, ne se voyant plus que comme une corporation vaguement immunisée contre la rudesse social (à l'instar de la caste journalistique, autre nid d'extra-terrestres auto-revendiqués (sans le dire), dupes de la technologie), à l'abri des miasmes et des fumerolles anti-sanitaires.

Sortir de ce microcosme insensé, censé bénéficier d'une immunité virtuelle (les leaders sortis du giron de la "generation playstation" auront encore moins notion de la précarité de l'élan vital, habitués qu'ils sont à avoir plusieurs vies sur leurs consoles de jeux (où ils passent plus de temps que leurs aïeux n'en prenaient pour aller cueillir des fruits au jardin, et au verger, en s'empiffant de framboises et de corosols à la saveur irremplaçable, "cueillie sur pied") ; ni la moindre empathie avec ce qui sort de leurs schémas réducteurs, même si issu de traditions multiséculaires : hors des items de leurs menus pré-programmés, le monde n'existe plus ...)

... Et pourquoi pas "peuple élu", pendant qu'on y est !!! ? (- sujet rebattu et déjà traité -)


 

“ [...] And if you listen very hard / The tune will come to you at last,
When all are one and one is all, (- that's what it is !)


ÊTRE AU MONDE / l'autre rivage (que celui du paraître)

 

Pour reprendre la directive d'un renommé Directeur de Conscience (et Président d'Universitée controversé), en lui ajoutant une étape :

TURN ON / TURN IN / DROP OUT AND TALK !

BRANCHEZ-VOUS / SOYEZ EN PHASE / SORTEZ DE CHEZ VOUS ET EXPLIQUEZ -VOUS !

Portez des T-Shirt signifiants, si vous n'avez plus assez de salive ! ("le poids des mots, le choc des images" à la portée de tous)

Tendez l'oreille à vos concitoyens, et racontez-leur votre blogosphère ! (soyez donc emetteur/recepteur - lecteur/enregistreur c'est mieux que baladeur)

Cessez d'avaler des couleuvres "reader digest" ; et de vociférer par procuration ! (le slam ébranle les certitudes ; le hip-hop n'a pas besoin de micro)

En effet, je crois que ce qui n'était qu'un passe-temps, s'avère être, bon an mal an, une philosophie de la vie.
Mon hobby (parfois perçu tel un egocentrage outrecuidant : tout les hobbyistes ne savent que s'investir à fond ; une manie suspecte ? Parler tout seul peut devenir inconvenant), cette inclinaison à deviser avec tout un chacun, dans les files d'attente, sur les bancs, au feu rouge, ou au bistrot, constituent même une subversion. Big Brother verrait sûrement d'un mauvais oeil ces petits flashs d'humanité qui illuminent mes journées nomades ... (C'est dingue, mais avec l'habitude d'internet de parler à des inconnus, souvent, au bout de 3mn, on sait ce qui est le plus prégnant, au fond de l'âme de son interlocuteur, après à peine quelques courtois échanges de banalités, on prend tout de suite le pouls de sa voisine, on entend sans la demander la profession de foi de son colistier ...
)

Gracieuse inconséquence !

(On sait mutuellement que cela ne dure qu'un laps de temps éphémère, dans une fulgurance volatile ... Et que cet échange spontané a plus de chance de "sonner vrai" que tous les discours de la Terre !) "Avec l'aimable participation de ..." . Contribution gracieuse. Superflu plus que nécessaire.

C'est cela, puisons à la source, dans le vivier des égos obscurs (même si chevronnés : souvent il suffit de gratter le vernis, "7 secondes", pour discerner une heureuse spécificité, malencontreusement laissée en jachère). Dans la rue, il n'y a que les pitbulls qui ont l'obligation de muselière. (À ce propos : j'aimais mieux la mode des bergers allemands, voire même des St Bernard ... Et de loin !)

Et, restons modestes, il serait emphatique de parler de psychothérapie collective : arrivée à ce stade de morcellement populaire, quand chacun et chacune, jeune ou vieux (ou entre deux), riche ou pauvre (ou précaire), devient le psy de son prochain (son voisin, les yeux dans les yeux, si vous préférez) "l'analyse" ne mérite pas de qualificatif intellectuel : il ne s'agit là que de gazouillis primesautiers, de glapissement intempestifs, de rugissements exacerbés, ou, davantage pétries d'humanité, de (plus ou moins) bonnes plaisanteries, d'interrogations épidermiques ...

De la "poésie vécue" (Cf. Alain Jouffroy) également, arrachée subrepticement à la trivialité, comme un kleenex à son caddy ... Comme une lichette de muscadet, à son container ...
J'aime mieux ces termes de "tranquillisation verbale", ou "d'exutoire improvisé".
La Rock'n'Roll Attitude existe, je l'ai rencontrée !
Soyons modestes, mais abandonnons cette timidité tutoyant la couardise, cette humilité frisant la robotisation, cette distraction frôlant la schizoïdie ! (Ne dit-on pas d'une personne distraite, qu'elle est "absente" ? Or, les absents ont toujours tort !)

Ne soyons plus pusillanimes ; et moquons nous du "qu'en dira-ton" (c'est-à-dire [sans jamais le prononcer] la quintessence de l'expression non "auteurisée", impersonnelle et illégitime, bien que globalement hégémonique (-Monique ?) ; cousine de la délation anonyme).

J'ai cessé de lire les messages de cet "ami qui vous veut du bien", comme de ces ennemis qui vous veulent pour rien ... J'ai moins de tracas avec les inconnus, les vaquants, les pilliers postés au coin de la rue. Ma patrie c'est les crossroads. Mon peuple, celui des salles d'attente.
Un sourire, dans l'urgence ! (Je n'ai pas fait voeu d'abstinence, moi non plus ...)
“ Mon royaume, pour ce hochement de tête ! ” Pour ce panache blanc, (blank request), quand l'autre opine du chef : voilà le credo le plus partagé au monde : a whole lotta love sur lequel on sent enfin qu'on a prise ! Ces miettes du Grand tout, qui nous font tenir debout (puisqu'elles nous poussent à nous lever).

La revanche du banal : quand le normal mène le bal, c'est de la balle !

Mieux vaut les ciels de traîne que les perturbations orageuses, que les dépressions qui bougonnent, que les anticyclones qui mégottent !

Le surcroît de "distinction" amène forcément à être ... distingué. (Universellement reconnu - c'est alors qu'on distingue cette arête qui n'est pas "coulé dans le moule", cette cicatrice dans le creux de la poignée, cette fossette proche de la commissure ...)
Autrement dit, à ne plus être pris pour d'anonymes pions, pour des boucs émissaires jetés en pitance à des fantasmagories machiavéliques, ou purement et simplement pour des ectoplasmes transparents, quasi inexistants (comme le sont les populations civiles aux yeux des poseurs de bombes, ou des bombardeurs aériens).

Mais, par ailleurs, sans tomber dans un angélisme sirupeux, même de façade. Tout aussi naïf, que le mode déploratoire, tendance haineuse.Sans se fourvoyer dans un manichéisme inversé, fait de rouerie facile ("ton bien, c'est mon mal ; ton mal, c'est mon bien"), où l'on irait conspuer ou encenser, alternativement, sans réfléchir un peu, selon des critères établis une fois pour toute.

Si l'inceste est un tabou universel, c'est justement pour préserver cette diversité infinie dont la Nature est garante : la consanguinité, d'une manière générale, est le premier écueil qui doit être évité dans notre Société du Spectacle ! Le Pouvoir des Gens, c'est la multiplicité en flux tendu, garante de l'unicité de chacun. La pollenisation ne saurait être planifiée ... Les opinions normalisées font peur.

Et que l'on ne vienne pas me dire que l'alcool est un désinhibiteur socialisant : quand on a la conscience tranquille, que l'on est clair avec soi-même, on n'a pas besoin de commander les canons !
Même sous les caméras de surveillance, (juchées dans le bastion du qu'en-dira-t-on, soit dit en passant) on peut parler cash, et grimacer dans la transparence ...
Mais attention : Perversion de l'institutionnel sur les relations : dès que l'on commence à poser des questions, curieux de tous, on va voir en vous un inquisiteur à l'époque de la prohibition !

Ce que l'on reprochait à Jeanne c'était surtout d'entendre des voix ! (c'est-à-dire : des voies ...). Non seulement elle pouvait voir un roy dissililé dans n'importe quel regroupement d'individus, organiser des rencontres, mais en plus elle causait aveec des inconnus (des invisibles, en fait, très bien connus ...)

(Et alors on risque de vous inciter à aller vous "faire voir" ailleurs ... Comme si on ne pouvez pas regarder autrui, autrement que sans être vu ... On a passé l'âge de "jouer-à-chat", pourtant !)

Pourtant je trouve que c'est la moindre des choses que chacun soit au moins le porte-parole de lui-même ! Ce qui lui permettra de peaufiner ses allégations, (puisque c'est en bourgeant que l'on devient bourgeons ...)


Quand la mémoire s'efface, le futur se voit court-circuité ; et la sclérose guette tout le monde, sauf les "intouchables", itinérant ...
Les va-nu-pieds se tiennent debout, à bon escient, quand les autres plongent leurs orteils dans le ciment, au risque de couler à pic avec le béton armé, avant que d'être arrivés / off-shore ...
Ceux qui ont "réussi" sont ceux qui sont "arrivés". MAIS OÙ ? Ils ne sauraient même pas vous donner l'heure !

Pr Fox - Aoùt 2008

 


REPONSE DU JEU PRECEDENT : Définition = une main de momie, dans un gant de velours ...

 


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BONUS / AVEC DES MORCEAUX DEDANS ;-)

« There is a lady who's sure
All that glitters is gold ... »

MÉDAILLES & CHEWIN'GUM

Fox @ Lorence : Que veux-tu dire en parlant de cette "mémoire sélective" ?

Pourquoi avoir attendu si longtemps pour recueillir les témoignages des rescapés des 2 guerres mondiales (et des autres aussi, d'ailleurs) ??? Ça n'est pas pour rien que l'on parle de "la Grande Muette" ! (... ou que l'on évite d'en parler, précisément)

Notons que les légendes sont parfois surfaites, surjouées ... (Parmi les derniers "poilus" de 14/18, rappelons qu'il y en a un qui fut quasiment déserteur [cf. la tragédie du Chemin Des Dames etc.] , et un autre que l'on a [les journalistes ?] retrouvé alors qu'il avait toujours refusé de s'inscrire comme "ancien combattant" patenté ... Préférant de lui-même tourner la page une fois pour toute, pour son confort psychologique, et pour ne pas alimenter les récits hagiographiques conscripteurs, à l'issue de son plein gré !)

Non, il me semble que c'est plutôt l'anonymat des victimes civiles (avec ou sans erreur de frappe) qui veut que cette distinction ("honorifique", moquée par Nyto) soit inévitablement passagère ... Arbitraire, aussi.

Médaille d'or ou du mérite, en chocolat ou en plastique, d'argent ou d'argent, de bronze ou d'honneur, ne remplacera jamais les soupirs et les pleurs. Les pleurs et les soupirs des vainqueurs.


LA DIPLOMATIE a-t-elle DU PLOMB DANS L'AILE ?


J'ajoute, en direction de l'inconnue, (@ ne pas confondre avec "un ride vers nulle part" ;) ) que ce qui semble matière à susciter le scandale dans cette histoire d'écoles "de luxe" des expat-triés sur le volet, c'est bien la spéculation qui va autour (avec l'éducation perçue comme un "investissement", les à-côtés de ces mouvements de populations évalués comme une source de "revenus", de renvois d'ascenseur etc.)

Et puis, non seulement il va y avoir une ségrégation guère sympathique avec les locaux qui vont payer plein pot, mais certains établissements vont être fermées pour limiter les frais d'Etat (source: Libération du 31 Juillet 2008: "Le trompe-l'oeil de la gratuité de l'enseignement à l'étranger" : des établissements vont être "déconventionnés" à partir de la rentrée.)

Déconvenue dans certaines contrées rendues à la barbarie (- c'est moi qui le rajoute). C'est-à-dire, vulnérablement coupées de leur acquis patrimoniaux , bien souvent, tout comme des apports étrangers en la matière ...

BARBARIE (perpétuation transgénérationnelle des Arts & des Sciences => c'est la seule définition certifiée de la Civilisation)

(Cf. racine approximative du mot "barbare" : "qui est de l'autre côté des fortifications")

CIVILISATION

Il y avait déjà un système de Bourses pour les moins bien nantis ... Mais la politique étant tombée là encore dans l'escarcelle idéologique de la loi unique, celle du parti global Economiste : "tout ce qui n'est pas profit, est dépense ou, au mieux, investissement"), on continue de pédaler dans la semoule ... (si je peux me permettre cette triviale et désuète expression, un tantinet exagérée) ;)

Sans quoi, que les profs soient payés comme des profs (pas des masses, en la circonstance) n'était pas vraiment le propos. Le Canard parlait des ressources, matérielles (les autres étant à venir, sinon à quoi bon aller à l'école ?) de la majorité des parents d'élèves concernés (dont "l'Ot'là" fait parti ... mais je n'ose pas croire que cela ait une réelle incidence sur ces dispositions) ; et de leurs employeurs (souvent prospères ... Et youp là boom !).

Tes arguments sont nuancés, et considérables (c-à-d à prendre en compte), mais le parallélisme avec la diminution de moitié du budget des centres francophones (francophiles pourrait-on dire) tient toujours. Il est l'indice d'une fausse manoeuvre généralisée.

"Alors quoi ? La culture ne serait-elle plus reconnue comme un moyen fondamental de la diplomatie française ?
A raison de 10% par an, le budget consacré du réseau culturel à l'étranger a diminué de moitié en 5 ans
."
(source: Telerama N°3054-du 26-07/1er-08 à propos des difficultés des Francophonies de Limoges désubventionnées par le Ministères des Affaires Etrangères, défection partiellement compensée par celui de la Culture)

NB/ Il y a là une incohérence criante de technocracité : je croyais que le Trésor Public était comme une grosse tirelire, remplie des économies de tous les citoyens, avec un retour logique, sans dichotomie chez les détenteurs du cordon de la bourse, ni tergiversations sans fin (asphyxiantes dans le même laps de temps) ...
Je suis naïf : je croyais aussi que l'envoi des troupes nationales dans les fiefs post-coloniaux, avait déjà fait l'objet d'un débat, qui aura lieu en septembre 2008 ! (suite aux 10 morts d'Août de la même année ... Après tant de temps sur place.)


Dans le même temps on va claquer 20 millions d'euros, à dispenser un enseignement du français gratuit aux résidents à l'étranger, qui, jusque là se faisaient payer leurs écoles de luxe (exemple de parents d'élève : Madonna etc.) par leur entreprise. (source: Canard Enchaîné du 13 août)


A ce compte-là, le nombre des inscriptions risque d'exploser ; mais on n'aura rien gagné en respectabilité pour autant. Ni consolider le rôle de phare civilisationnel de notre Nation !


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