“ [...] And if you listen very hard / The tune will come to you at last,
When all are one and one is all,
(- that's what it is !)
To be a rock and not to roll ”

Stairway To Heaven — Led Zeppelin
Anniversaire (d'un freak de) Led Zep le 20 août.
Tenez-vous prêts ! (-Comment ça, le futur est passé !?)

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LE SALAIRE DE LA PEUR // LA PEUR DU SALARIÉ (mercenaire/milicien)

 

@ Patrick : Je suis touché de l'attention que tu portes à ma condition physique comme de ta sollicitude envers mon moral #silly# Mais, non, rien d'anormal, si ce n'est que je suis nomade tout le long de l'année, et qu'en ce moment je rencontre une sorte de grande confraternité, de par les transhumances estivales. Un relief. Chic et pas cher. #cheeky#

Tu soulèves un point crucial, derrière l'ironie de ton propos : la question, ô combien réactionnaire, de la gratuité. Les miasmes du Service Publique (PTT etc.) interrogent les populations. Nous sommes interpellés par cette démonstration involontaire du postulat que j'énonce patiemment auprès de qui veut bien l'entendre :

L'âpreté au gain, conduit invariablement à la faillite.

Puisque la quête incessante du profit, amène systématiquement la ruine de la qualité de vie, on le sait maintenant.
(Ex: les prescriptions de psychotropes affirment un record mondial de vente en France, mais les dépressions sont en croissance, et le trou de la secu n'en finit pas de s'agrandir ... : + + + = — )

Tout ça parce que la marche à pieds, la phytothérapie, "la tranquillisation verbale" (cf. même auteur que le récent promoteur de la "résilience"), la complicité affective, la transcendance (la transe en danse ?), en un mot : la bonne "humeur" (chère aux médecins de Molière) tout comme l'exercice physique, sont un peu vite ostracismés, par des rouages mercantiles faisant figure de rouleau-compresseur.

Ne déformes pas trop mes propos : je n'ai jamais parlé de gratuité (ni de péage, d'ailleurs) : j'évoquais des balises concernant l'organique, autrement dit : l'Inestimable ! (cf. "les voies du Maître d'Oeuvre sont impénétrables", la signature du génome humain est cryptée etc.)

La guerre a un coût ; la Paix n'a pas de prix !


Ceci dit, tu t'amuses de mes pulsions épistolaires, que certains observateurs moins attentifs que toi n'hésiteraient pas à diagnostiquer hâtivement comme maniaco-dépressives (mes sautes d'humeur reposent pourtant sur un cohérence : une lucidité entre ma fonction de porte-parole synthétiseur spontané d'inconnus, et mon discours un rien excentrique, mais peaufiné par ma propre expérience. Cela va du Blues au Doo Wap, en passant par le R'nR et le Trip-Hop. J'assume.)

Et je le prouve (si tu veux) logiquement :
Lorsque la soumission est volontaire, ce n'est plus que de la modération (partagée ; une entente tacite, en l'occurrence) ... (D'ailleurs tu n'as qu'à lire les pubs pour boissons alcoolisées : ils ne parlent pas de soumission ! ;) Ni d'addiction ... :-/)
Alors quand j'éructe un "Power To The People !", cela fait écho au "Are you ready to testify ?" du MC5 dans le live "Kick out the jam !" (cf. White Panthers/Detroit/punkitude etc)

"Délégation", ça n'est pas un vain mot. Et l'osmose n'est pas réservée aux amibes ...
Quoi qu'on puisse nous seriner à longueur de médiatisation pipole, la vie n'est pas nécessairement un perpétuel bras-de-fer, une incessante quête de vengeance ; ni un enduro de négation d'autrui. (J'ai toujours trouvé grotesque la célèbre devise "Bouffer ou se faire bouffer").
Les responsabilités sont faites pour être partagées (et "ça ne mange pas de pain").
Le respect ne peut que passer par cette faculté de recevoir (des directives), autant que de donner (des ordres). Bien sûr, à condition, qu'une logique soit en filigrane, et que le prescripteur soit, virtuellement, en mesure d'accomplir lui-même ce qu'il attend de l'autre (sans que cela n'affecte sa dignité).

Ceci va dans le même cul-de-sac que ces quelques autres contre-vérités assez peu supportables que l'on assimile par habitude (les "idées kangourous" pointées par l'équipe du regretté journal Actuel, par ailleurs énonciatrice de fameuses "idée-forces") comme par exemple : La sympathie n'est pas l'empathie. L'empathie n'est pas la charité. La charité n'est pas la pitié. La pitié n'est pas le cynisme appliqué. Etc.
Et "la loi du plus fort" constitue une entrave plutôt qu'un atout : elle oblitère le feed-back possible (et souhaitable, à défaut d'être avant-coureur), elle sclérose toute velléité d'arborescence organique. (Sans parler de la non prise en compte du facteur "chance", et de l'omniprésence des aléas).
Les méduses n'ont pas le monopole de la polymorphie ...

En effet, si la soumission s'avère, si ce n'est obligatoirement épanouissante, mais pour le moins tranquillisante, lorsqu'elle est consentie, redevable d'une compréhension symétrique, quand l'intiative se sent "l'obligée" d'une intelligence synergétique, alors la puissance souhaitée pour la population (dont il est question avec Lennon) passe aussi bien par un droit au commandement, que par un devoir d'obéissance assumée.
Pour être plus clair : Cela semble finalement tout autant gratifiant de diriger, que de se laisser conduire ... Alors laissons le quidam prendre la barre, de temps en temps ! Laissons lui aussi l'opportunité de montrer sa mansuétude. Sa confiance, peut-être ...

La prise d'autorité n'est plus interdite entre citoyens égaux.
"Power to the People !" ça n'est pas seulement ce mot d'ordre véhément qui fait trembler tout pouvoir, (relou & chelou ; institué en amont), à l'idée d'un soulèvement collectif (contre les privilèges des "favorisés" [ce n'est pas moi qui le dit !] qui les mettent lourdement en place, ad vitam ils l'espèrent) ; mais c'est aussi un voeu d'acquérir quelques privilèges inestimables : tout d'abord, celui d'obéir de bon coeur ! Et, aussi celui d'avoir un décor mouvant ! (Pour ne pas employer les "grands mots" comme "foi en l'avenir", quand ça "groove grave !" etc.) Un progrès, pourquoi pas ?

Ainsi cela illustre aussi une "démocratisation" du désir d'être guidé, une appropriation par les particuliers de la volonté de pouvoir suivre son prochain : en effet, cela peut exprimer une généralisation prophylactique dans l'octroi d'une fonction catalysante ! (Autrement dit : considérer le premier venu comme un allié potentiel, plutôt que comme un client éventuel, ou un despote en puissance ; ou les deux en même temps !)

Dans cette optique, la mission "casser ou absorber, si on ne peut pas dominer ; et autrement, raser les murs" est devenue caduque, (inopérante, tu vois ?)

Ex: J'aime me sentir 'disponible' envers les passager[e]s du train, tout autant que je le suis envers le contrôleur ... Et j'apprécie quand ce dernier est un peu familier, empreint d'une humanité vaguement inconséquente ... Ce n'est même pas se sentir utile, ou "en règle" : c'est se sentir collectivement efficients, possiblement endormis, tous parfaitement prisonniers d'une machine conviviale !


L'OBSERVATOIRE EN HAUT DU PHARE

Au sujet de l'information : agir autrement que comme je le préconisais (cf. le savoir considéré comme une chose publique), ça serait de la "rétention d'information". Comportement criminel. (C'est bien connu : dans ton dos, le fer de lance intra-muros dans les bureaux : « Ils ne font rien : ils se situent / Ils sont là à tous les niveaux / C'est le règne des 3èmes couteaux » (Lavilliers Bernard).
C'est bien, connu. Connu, c'est mieux.
L'info en soi ne vaut rien (un scoop éventé ne coûte qu'une poignée de cacahouètes), c'est son traitement qui compte. Avec, sait-on jamais, les applications connexes.
Le seul qui mérite (ou pas ; c'est selon l'usage rémunérateur qui en découlera) du pognon dans l'énigmatique dépêche (AFP ? c'est toi qui le dit) postée au sujet des robots, c'est le scientifique (qui a du publier ses travaux par ailleurs : car c'est ainsi que l'on valide chaque pas en avant dans la science).

Donc, après réflexion, je trouverais plus intéressant de favoriser un genre d'observatoire des médias, plutôt qu'une n_ième agence : les "critiques" et commentaires venant des pairs, comme toi, sont toujours gratifiants pour tout le monde. Ou le décorticage méticuleux venant de praticiens de la communication comme il y a par ici, tout comme la déconstruction opérée par des sémiologues, avec l'apport affectif et circonstancié d'artistes émérites, cela apporterait un éclairage très utile.

Un bon moyen de vaincre l'apathie ("médiocratique" : cf. le tout-portnawak ... Port Nawak, tu connais ? Un lieu de villégiature très prisé ! Et pas qu'estival ...), et de se prévenir contre intox[ications], lavages de cerveaux à répétition, tu ne trouves pas ?

Une sorte d'arbitrage des arbitres ... (- suivez mon regard ... J.O. zarbis)

 



une philosophie


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LA DIPLOMATIE a-t-elle DU PLOMB DANS L'AILE ?


J'ajoute, en direction de l'inconnue, (@ ne pas confondre avec "un ride vers nulle part" ;) ) que ce qui semble matière à susciter le scandale dans cette histoire d'écoles "de luxe" des expat-triés sur le volet, c'est bien la spéculation qui va autour (avec l'éducation perçue comme un "investissement", les à-côtés de ces mouvements de populations évalués comme une source de "revenus", de renvois d'ascenseur etc.)

Et puis, non seulement il va y avoir une ségrégation guère sympathique avec les locaux qui vont payer plein pot, mais certains établissements vont être fermées pour limiter les frais d'Etat (source: Libération du 31 Juillet 2008: "Le trompe-l'oeil de la gratuité de l'enseignement à l'étranger" : des établissements vont être "déconventionnés" à partir de la rentrée.) Déconvenue dans certaines contrées rendues à la barbarie (- c'est moi qui le rajoute).

Il y avait déjà un système de Bourses pour les moins bien nantis ... Mais la politique étant tombée là encore dans l'escarcelle idéologique de la loi unique, celle du parti global Economiste : "tout ce qui n'est pas profit, est dépense ou, au mieux, investissement"), on continue de pédaler dans la semoule ... (si je peux me permettre cette triviale et désuète expression, un tantinet exagérée) ;)

Sans quoi, que les profs soient payés comme des profs (pas des masses, en la circonstance) n'était pas vraiment le propos. Le Canard parlait des ressources, matérielles (les autres étant à venir, sinon à quoi bon aller à l'école ?) de la majorité des parents d'élèves concernés (dont "l'Ot'là" fait parti ... mais je n'ose pas croire que cela ait une réelle incidence sur ces dispositions) ; et de leurs employeurs (souvent prospères ... Et youp là boom !).

Tes arguments sont nuancés, et considérables (c-à-d à prendre en compte), mais le parallélisme avec la diminution de moitié du budget des centres francophones (francophiles pourrait-on dire) tient toujours. Il est l'indice d'une fausse manoeuvre généralisée.

"Alors quoi ? La culture ne serait-elle plus reconnue comme un moyen fondamental de la diplomatie française ?
A raison de 10% par an, le budget consacré du réseau culturel à l'étranger a diminué de moitié en 5 ans
."
(source: Telerama N°3054-du 26-07/1er-08 à propos des difficultés des Francophonies de Limoges désubventionnées par le Ministères des Affaires Etrangères, défection partiellement compensée par celui de la Culture)

NB/ Il y a là une incohérence criante de technocracité : je croyais que le Trésor Public était comme une grosse tirelire, remplie des économies de tous les citoyens, avec un retour logique, sans dichotomie chez les détenteurs du cordon de la bourse, ni tergiversations sans fin (asphyxiantes dans le même laps de temps) ...
Je suis naïf : je croyais aussi que l'envoi des troupes nationales dans les fiefs post-coloniaux, avait déjà fait l'objet d'un débat, qui aura lieu en septembre 2008 ! (suite aux 10 morts d'Août de la même année ... Après tant de temps sur place.)


Dans le même temps on va claquer 20 millions d'euros, à dispenser un enseignement du français gratuit aux résidents à l'étranger, qui, jusque là se faisaient payer leurs écoles de luxe (exemple de
parents d'élève : Madonna etc.) par leur entreprise. (source: Canard Enchaîné du 13 août)


A ce compte-là, le nombre des inscriptions risque d'exploser ; mais on n'aura rien gagné en respectabilité pour autant. Ni consolider le rôle de phare civilisationnel de notre Nation !

 


@ Lorence : que veux-tu dire en parlant de cette "mémoire sélective" ?

Pourquoi avoir attendu si longtemps pour recueillir les témoignages des rescapés des 2 guerres mondiales (et des autres aussi, d'ailleurs) ??? Ça n'est pas pour rien que l'on parle de "la Grande Muette" ! (... ou que l'on évite d'en parler, précisément)

Notons que les légendes sont parfois surfaites, surjouées ... (Parmi les derniers "poilus" de 14/18, rappelons qu'il y en a un qui fut quasiment déserteur [cf. la tragédie du Chemin Des Dames etc.] , et un autre que l'on a [les journalistes ?] retrouvé alors qu'il avait toujours refusé de s'inscrire comme "ancien combattant" patenté ... Préférant de lui-même tourner la page une fois pour toute, pour son confort psychologique, et pour ne pas alimenter les récits hagiographiques conscripteurs, à l'issue de son plein gré !)

Non, il me semble que c'est plutôt l'anonymat des victimes civiles (avec ou sans erreur de frappe) qui veut que cette distinction ("honorifique", moquée par Nyto) soit inévitablement passagère ... Arbitraire, aussi.


@ Marco : tiens, justement, tu tombes bien : je cherchais un gars de Loire Atlantique (ça me semble tout indiqué) pour pouvoir mettre une musique sur le texte qui m'est venu cette semaine au camping !? ("Gérons-la" !) Si cela te branche ...



LE PORT DE L'ANGOISSE
(- Tenue correcte exigée -)

 

Je répète : "To be a rock ; and not to roll !"
= Ne pas se laisser bousculer par les événements ...
(Nota Bene : Éviter de prendre la bôme sur la tête quand on vire de bords)

Je ne sais pas vous, faites comme vous voulez, mais moi je ne compte pas investir un centime de dollar de plus dans les déplacements aériens de certains à l'autre bout de la planète ...
... à moins qu'on ne mette au point vite fait un avion sans kérosène !

(Mais même comme ça ... Parce que quiconque a foulé le sol pakistanais ou afghan, en dehors des voies balisées, "urbaines", sait bien qu'aucune solution militaire { ni humanitaire, qui va de pair, soit-disant } n'est possible, dans ce maquis aride fait de fiefs inextinguibles. Où les droits de passage sont exorbitants (avec des cerbères du style à piller les stocks de médicaments sans les notices, les étiquettes associées, et sans les modes d'emplois !)
D'ailleurs si les Russes s'y sont déjà cassé les dents, ça n'est pas avec les américains qu'on fera mieux ! Eux qui ont financé le talibanisme, à l'origine ... souvenons nous en. Eux qui ont poussé les ossètes à rompre la trêve des J. O., comptant sur les fractales colombophiles pour faire diversion ...)

Quand Poutine parle de la Tchétchénie, il parle aussi de "terrorisme". Va-t-il oser en Géorgie ?

Et puis l'occasion n'est pas vraiment valorisante, en la circonstance ... (les vaincus sont rapatriés anyway). Soyons urbains, une fois de temps en temps ...
J'ai déjà énuméré les 2 moyens radicaux de vaincre les vélléités de terrorisme (puisque par définition, on ne peut vaincre les terroristes après coup ; qui sont soit morts-suicidés, soit retournés dans leur nébuleuse de chômeurs fanatiques, ou vaquent à leurs occupations anonymes, en prison ou ailleurs (à Londres on a vu qu'il s'agissait de chirurgiens BCBG, pas de talibans).

Je récapitule donc, 2 des préceptes" Novoïdes" (issus de la vidéo éponyme © Rimage ; (V)HS, sans capituler pour autant) :

“ SIMPLE COMME BONJOUR ”

  • - 1/ Il faut taire le terrorisme ! Sans le porte-voie complaisant des médias (...) ce type d'actions n'aurait plus aucune raison de se renouveler. Si tant est que ces massacres aient un quelconque rapport avec la raison ...(Ex: Le déplacement présidentiel, d'une certaine façon, fait une publicité illégitime aux auteurs de l'embuscade (cités, hors de leur maquis) ... de par une ampleur médiatique, qui n'aura de conséquence qu'une montée de 2 points dans les sondages du dimanche suivant ... En France.)
    Oui, ça serait mieux de rendre dissociables les activités des uns et des autres (en rompant une solidarité de surface où chacun est dupe de l'autre : les médias en étant "aux avants postes" (c'est "dans le poste") ; les terroristes en se croyant intéressants (des croyants de pacotille : qui défigurent la spiritualité).

Parce que la *qualité de vie*, également, peut être spectaculaire (confiée à des mains expertes, artistiquement professionnelles, avec des moyens similaires à ceux qu'on attribue aujourd'hui au glauquisme Trop gore, quoi !)...

  • - 2/ Il faut opposer des valeurs fortes, antinomiques, à ces nouvelles "valeurs" belliqueuses : pas de simples contre-feux, mais d'authentiques lames de fond (Ex: le bouddhisme, 3ème religion du pays, en est une ... Le patrimoine tibétain est l'un des plus ancien de l'humanité) ...
    Fondamentalement s'adapter aux récentes formes de combats aveugles, et savoir montrer que les attaques (des "fondamentalistes") reposent sur des calomnies, des quiproquos. Etc. (et si on le souhaite, on peut se reporter à la théorie du "groove transcendental" dans les archives ... ;) )

 Boucher les interstices par lesquelles le vide existentiel se voit permuté en criminalité. "Occuper le terrain" ; en jouant collectif  !

 

LE PORT DE LA CRAVATE, EST-IL UN PASSAGE OBLIGÉ ?


Ce qui serait souhaitable pour un véritable retournement de la situation, c'est donc le contraire d'une attitude complaisante, "par la bande", ou de celle claquemurée dans le dénigrement (pathétiquement subjectif) et la vindicte (objectivement vaine).
(@ Nebo : l'absence de sépulture est le premier indice de barbarie [ou l'absence de rituel en un lieu sanctuarisé, parfois confié aux charognards] L'exemplarité n'est pas un luxe dispensable ...)

Le surcroît de "distinction" amène forcément à être ... distingué. Universellement.
Autrement dit, à ne plus être pris pour d'anonymes pions, pour des boucs émissaires en pitance à des fantasmagories, ou purement et simplement pour des ectoplasmes transparents, quasi inexistants (comme le sont les populations civiles aux yeux des poseurs de bombes, ou des bombardeurs aériens).

Mais, par ailleurs, sans tomber dans un angélisme, même de façade. Sans se fourvoyer dans un manichéisme inversé, fait de rouerie facile, où l'on irait conspuer ou encenser, alternativement, selon des critères établis une fois pour toute.

Si l'inceste est un tabou universel, c'est justement pour préserver cette diversité infinie dont la Nature est garante : la consanguinité, d'une manière générale, est le premier écueil qui doit être évité dans notre Société du Spectacle ! Le Pouvoir des Gens, c'est la multiplicité en flux tendu, garante de l'unicité de chacun. La pollenisation ne saurait être planifiée ...


Quand la mémoire s'efface, le futur se voit court-circuité ; et la sclérose guette tout le monde, sauf les "intouchables", itinérant ...
Les va-nu-pieds se tiennent debout, à bon escient, quand les autres plongent leurs orteils dans le ciment, coulant à pic avec le béton armé ...


Résultat de la semaine précédente : Une main de momie, dans un gant de velours ...

 


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collectif informel
— multimédia —


Les ordinateurs, plus on s'en sert moins, moins ça a de chance de mal marcher 

Jacques Rouxel (Les shadoks)